tag:blogger.com,1999:blog-5740974274415785197.post5858911425874976631..comments2023-06-24T18:23:42.791+02:00Comments on Danses de travers: Appeler par son nom tout ce qui existeDidier da Silvahttp://www.blogger.com/profile/13489626398966812081noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-5740974274415785197.post-53843284503666511202014-11-01T10:46:33.205+01:002014-11-01T10:46:33.205+01:00Elle est en effet particulièrement bien sentie — m...Elle est en effet particulièrement bien sentie — mais tu sais par ailleurs combien j'aime voir voler la poussière quand on remue ce bric-à-brac, c'est très joli…<br />(Et bravo pour ton billet du jour, il est très beau. Cette "passion perverse pour la chose qui fait défaut", comme je la partage !))Didier da Silvahttps://www.blogger.com/profile/13489626398966812081noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5740974274415785197.post-54033337701481955422014-11-01T10:38:51.758+01:002014-11-01T10:38:51.758+01:00"À sa famille".
Grand merci pour le lie..."À sa famille". <br />Grand merci pour le lien ! L'édition que j'ai de la (trop brève) correspondance, laquelle suit Lenz et deux autres textes, est précisément préfacée par Bailly (qui dit de très belles choses sur Büchner, évidemment). Didier da Silvahttps://www.blogger.com/profile/13489626398966812081noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5740974274415785197.post-70913881096876756882014-11-01T08:38:33.094+01:002014-11-01T08:38:33.094+01:00Jean-Christophe Bailly sur Büchner (conférence BNF...Jean-Christophe Bailly sur Büchner (<a href="http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/anx_conferences_2011/a.c_110202_bailly.html" rel="nofollow">conférence BNF février 2011</a>) : "C'est bien qu'il y ait des mots qui fassent frémir !"<br />Sait-on à qui cette lettre ?Nana Martonhttps://www.blogger.com/profile/08358950332500841362noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5740974274415785197.post-78626094601219167232014-11-01T07:49:24.153+01:002014-11-01T07:49:24.153+01:00"bric-à-brac mort que l’on appelle l’éruditio..."bric-à-brac mort que l’on appelle l’érudition". Comment décrire le doux parfum qui se dégage d'une telle formule?Igorhttps://oreillehantee.wordpress.com/noreply@blogger.com