L'autre jour je vous comparai à ce compositeur italien qui mettant en musique le credo faisait chanter non credo. L'Inquisition le manda mais on vit bientôt qu'il croyait autant que personne. C'était purement affaire de musique que son incrédulité. Non credo se chantait mieux.
Isabelle de Charrière à Benjamin Constant, le 13 juin 1797
[Dictionnaire des artistes, par l'Abbé De Fontenai, 1776]
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