Meilleurs vœux du hasard
Bonté divine, quelle chance y avait-il pour que les deux derniers livres que j'ai lus en 2014 — Monk (1996) et Souvenirs de Pologne (1960) — citent la même phrase de Freud : "Un artiste est un névrosé qui se soigne lui-même" ?
Obligé d'y voir un signe, un viatique, un encouragement pour l'avenir. Bonne santé, bande de malades !
Sculpter un buste de Freud, est-ce une démarche thérapeutique? Le docteur Freud vient-il de perdre un client? En tous cas Il a l'air contrarié.
RépondreSupprimerMerci pour ces bons vœux et une bonne santé à vous aussi, quand la santé va tout va!
Merci ! (Je suis tout de même un peu enrhumé.)
SupprimerDe chaque lecture sort l'ironie du sort.
RépondreSupprimerBonne année toi-même !
Également ! Soigne-toi bien.
SupprimerFreud parle-t-il de la durée de la thérapie, pour un artiste? Peut-être treize mille jours moins un!
RépondreSupprimerC'est long, quand même! Que tout se passe bien!
La thérapie est longue mais la vie est courte, et comme elles se confondent, l'un dans l'autre, on ne verra pas le temps passer...
SupprimerAinsi après "Une petite forme", on péterait la forme? Je vous le souhaite, Didier, je vous le souhaite, la forme écrite, évidemment!
RépondreSupprimerMerci bien ! Souhaitons-nous aussi un bon fond, tant que nous y sommes.
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