Lassé de poursuivre des efforts inutiles porter son attention au ciel où à la suite du sublime disparu les nuages continuent à passer en mémentos de ce qui ne pourra jamais être pensé. [p. 27-28]
Les putain merde qu'il lâche en file dans l'après-coup du coup qu'il s'est donné faute d'une réaction propre à en combler le vide sont autant d'explétifs d'une phrase qui en serait uniquement composée pour être précipitée dans le gouffre sans fond du sens comme le sacrifice le plus spontané authentique et convenable que celui-ci puisse agréer et les mêmes à peu près qu'il fait monter par une belle et pure nuit d'été à l'adresse du ciel étoilé. [p. 46-47]
Ce monde qui n'est qu'un mot il suffit de l'accident d'une rencontre éphémère pour le pousser d'un dernier degré vers l'insubstantiel et en faire un sourire. [p. 67]
Marc Cholodenko, Puis gris que dilue du rose que brûle le bleu (P.O.L, 2014)
Quelle belle nuit, merde.
RépondreSupprimerJe vois qu'il y en a un qui suit ;-)
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