lundi 8 juin 2015

Pause estivale





9 commentaires:

  1. Estivale, estivale... Il y a des privilégiés dans ce monde.

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    1. Comment ? Le short et la tong ne sont pas encore d'actualité à Rambouillet ? Pourtant j'ai quitté Paris sous une chaleur caniculaire… Suis-je bête : mais oui mais oui, l'école n'est pas finie !

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  2. Hehe, je l'étudie aussi pour l'instant. Difficile non? Disons pas facile. Cela dit, estivale pour estivale, la pause, elle mériterait un peu plus de langueur non? Enfin je trouve. Mais chapeau quand même, j'aimerais en être là. Car après cela, ralentir, pfff, un jeu d'enfant.
    Doris. Bruxelles.
    PS J'ai adoré votre mot sur Gershwin

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    1. Ah, le tempo, c'est très subjectif – et instinctif… faute d'indication précise, chacun le sien !

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  3. Attention... à force de jouer ces trucs-là dans la serre, tu vas flinguer les plantes. La mélancolie nuit à la photosynthèse.

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    1. Ah ah ! Je pense que depuis le temps et vu leur excellente santé elles ont développé des anticorps.

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  4. Astor Piazzola j'adore... au piano à bretelles (passion, mélancolie, sensualité).
    Moi aussi j'ai beaucoup aimé votre "Philarmonie du soir".
    (J'attends la publication PAPIER de votre "diary" mais sans doute serais-je morte quand vous le publierez).

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    1. Publier ce journal, quelle idée. Mourir aussi, d'ailleurs.

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    2. Pour le Journal je comprends que cette idée ne vous sied pas. Ce sont mes lectures préférées, avec les Correspondances.
      Pour l'idée de mourir : mais nous allons tous mourir un jour, ne pas occulter cette idée c'est l'apprivoiser... quand on a mon âge; pas le vôtre, évidemment.

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