"Le ciel, au-dessus de tout ça, est une chose indéfinissable, absente et noire. Un Bouddha cuivré sourit un instant sur un mur d'images..."
(p. 15)
"Des piliers sévères rythment l'espace. Le Musée national est un musée sobre, dans les tons de gris. L'idée de parler ne vient à personne."
(p. 67)
"Buildings, buildings, buildings jusqu'à l'horizon, tel serait le refrain si Tôkyô était une chanson. Or Tôkyô est silencieuse, autant que sont épaisses, certes, la moquette et les vitres de l'Observatoire, mais il n'y a décidément que des réalités."
(p. 93)
vues de Tokyo, juin 2003
extraits d'Hoffmann à Tôkyô, éd. naïve, 2007
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